Hildegard Schorsch

Wir trauern um Hildegard Schorsch

Die Deutsch-Französische Gesellschaft Wettenberg trauert um Hildegard Schorsch aus Krofdorf-Gleiberg. Die Ehefrau des langjährigen Vorsitzenden und Mitgründers Günter Schorsch (+ 1995) entschlief am vergangenen Freitag, 12. August, im gesegneten Alter von 91 Jahren. Der Partnerschaftsverein wird ihr ein ehrendes Andenken bewahren.

Hildegard Schorsch war der Partnerschaft mit Sorgues und dem Verein von Beginn an eng verbunden. Während ihr Mann als Vorsitzender des Partnerschaftsausschusses der Gemeindevertretung und nach DFG-Gründung 1976/77 auch des Vereins (zunächst Vize, 1980 bis 1987 Vorsitzender) auch nach außen hin Verantwortung trug, blieb Hildegard Schorsch als ruhender Pol und gute Seele eher im Hintergrund.

Die Schorschs waren immer Gastgeber für südfranzösische Freunde (aus Kommunalpolitik sowie Chorgesang) und unmittelbar Teil des Geschehens, als Günter Feußner und Fernand Marin, Roland Rampal, der Wetzlarer Hans Weidler und etliche andere mehr das "Jumelage"-Fundament gestalteten. Unvergessen unter den Angehörigen der Gründergeneration die großen deutsch-französischen Runden bei Hildegard und Günter Schorsch.

"Hildegard - das war die Mutter der Sudetenstraße", sagte Emmi Brehm, eine direkte Nachbarin, die mit ihrem Mann Helmut ein persönliche Freundschaft mit Hildegard Schorsch pflegte. Ihren Kindern Garnet und Dirk sei sie sozusagen wie eine Großmutter gewesen, eine unbedingte Vertrauensperson, eingebunden in das Familienleben - und in der Gemeinschaft auch in das Partnerschaftsgeschehen vor allem der ersten Jahrzehnte.

No. SCHMIDT, Vorsitzender


im Anschluss ein Abschiedsbrief von Marie-Do. RAMPAL aus Sorgues zum Tod von Hildegard SCHORSCH.

Tu viens de m'apprendre la triste nouvelle , le décès d'Hilde , c'était quelqu'un de bien,

Elle et Günter ont fait beaucoup beaucoup pour la naissance , la croissance et pour la vie du contrat de mariage de jumelage, initié par Günter Feussner, Fernand Marin, Roland Rampal aidé dans la tâche par Hans Weidler mon ami de Wetzlar aujourd'hui disparu.

c'est au cour d'une merveilleuse soirée entre amis que j'ai appris les chansons à boire comme "Prost Prost ."......et "I Prosit".........i

Elle avait toujours la maison plein de monde , et recevait avec plaisir et avec son coeur.

Elle avait à l'époque beaucoup de chagrin pour sa famille restée de l'autre côté du rideau de fer.

Elle avait un neveu de Günter, Johanes qui habitait Krofdorf qui venait la voir au début puis les visites se sont espacées

N'ayant pas d'enfant elle s'est interessé et occupé des enfants des autres , elle était une mère et une grand-mère, pour tous ces jeunes

Elle chantait dans la chorale GV 1842 car elle avait une très belle voix, et elle le faisait avec passion

Tout comme son jardin qu'elle entretenait avec plaisir

depuis que Gunter était décédé , elle recevait de moins en moins car elle se faisait âgée

Mais chaque fois que je le pouvais je lui rendais visite.

Dernièrement, en juin lors de la foire de Wissmar, je l'ai vu et lui ai présentée à mon amie Corinne qui ne la connaisait pas, elle m'avait reçu entourée de sa gouvernante polonaise

Je l'avais trouvé bien fatiguée, mais nous avions parlé du passé et des amis. elle avait encore une excellente mémoire.

Elle a toujours eu le soutien de son voisin et ami Helmut Brehm et de sa femme Emmi ainsi que de ses enfants Garnet et Dirk qui sont les enfants du jumelage.

Tout comme Michel Vincent qui a accompagné le premier échange scolaire avec des jeunes sorguais qui avaient 10 ans et que Hilde et Günter ont hébergé pendant la durée du séjour de 15 jours à l'époque

Resté en contact , Michel venait ,d'un coup d'avion, rendre visite à Hildegarde .

Enfin beaucoup de souvenirs remontent à la surface..................

amitiés tristes